4 août 2011
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Stan aurait domestiqué la foudre de la pointe de son index.
C'est ce qui se raconte encore dans les intermondes.
La réalité parallèle est différente. Stan est à peine l'ombre de lui-même.
Parfois il n'en a plus. D'ombre. Il est en éclipse de son moi.
Il ne tient la gravité d'Arbacol que grâce à Melusyne, la divine.
Cette jolie gnôle qui luit dans l'obscurité en a fait son esclave éternel.
On ne revient pas de l' Outre Monde sans payer son Passeur.
Visiblement Stan avait payé plein tarif.